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Comprendre l’action. [En cours de rédaction 19/08/2015]

dimanche 16 décembre 2012, par omedoc

“Toute action tente de déterminer les meilleurs moyens permettant d’atteindre un objectif. Mais le choix des moyens repose le plus souvent sur des croyances s’appuyant elles-mêmes sur des théories et ces théories sur des présupposés.” [1]

Définition de l’action

“Pour qu’il y ait acte, il faut et il suffit, qu’un comportement corporel quelconque permette de changer l’état de chose existant, d’apporter une modification à l’ordre du monde, c’est à dire d’obtenir un certain résultat.” [2]

Lorsqu’on agit on cherche donc à transformer le monde dans un certain sens.

A noter que l’inaction peut tuer (Ne pas porter secours à une personne en péril). Et certains philosophes estiment que dans ces cas ne pas agir (au sens de la définition ci-dessus) c’est aussi agir (dans un sens plus large).

Dans certains cas l’action peut-être considéré comme plus fautive que l’inaction. Ceci explique l’impossibilité d’arrêter un traitement médicamenteux, même lorsque le bénéfice risque s’inverse.

Donc il y a :
 un comportement corporel
 un état des choses existant
 un état des choses modifié suite à l’action
 un état des choses recherché.

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*

*

Évaluation de l’action

Coût.

Écart entre le résultat recherché et le résultat obtenu.

Efficacité d’une action. Versus "bonnes pratiques".

L’efficacité n’a de sens que par rapport à un objectif. Certains buts, comme saisir une proie, gagner à un jeu ou résoudre un problème, sont absolus : ils consistent à atteindre un certain résultat qui, à tout moment donné, soit est réalisé, soit ne l’est pas. D’autres objectifs, comme la multiplication de sa progéniture, l’amélioration de son jeu au tennis, ou la compréhension de soi-même, sont relatifs : ils consistent à augmenter la valeur d’une certaine variable, et leur réalisation est une question de degré. Dans le cas d’objectifs absolus, l’efficacité consiste à les atteindre au moindre coût (qu’il s’agisse de temps, d’argent, d’énergie, etc.) Dans le cas d’objectifs relatifs, l’efficacité est une question d’équilibre entre degré de réalisation et coûts. Dans le cas particulier où l’objectif est relatif et les coûts sont fixes — comme par exemple lorsqu’on utilise tout le temps dont on dispose, quoi qu’il arrive — l’efficacité consiste à réaliser cet objectif au plus haut degré possible. [3]Dan Sperber / Deirdre Wilson. La pertinence.

Efficacité par rapport à des objectifs plus généraux.

Efficience d’une action.

Effets pervers.

Effets parallèles.

Analyse de l’action

Méthodologie

Objectif intermédiaires

Inventaire des actes :

  • verbaux
  • non verbaux

Comment agir efficacement

Les mots précèdent les actes, les préparent et les justifient.
Jérôme Garcin

« - Oui le fond est assez ferme.Mais je suis fâché de ce mot votre peuple. Est-ce au XIXe siècle qu’on peut dire qu’un peuple appartient à un homme, et est sa chose, comme un troupeau de moutons ou un sac d’écus qu’il est libre de vendre ou de dépenser ?
 Vous avez peut-être raison dit le journaliste. mais bah ! qu’importe un mot ?
 En temps de révolutions, dit Samuel, un mot est un acte. Et ce n’est pas à vous de nier la toute-puissance des mots quand vous n’avez contre Charles X, ses soldats et ses prêtres, qu’un mot : la Charte. » [4]

Une mauvaise façon de désigner le problème nous interdit de le régler.

Admettons que S= 1-1+1-1+... ait un sens alors S=0=1et si on peut lui appliquer les raisonnements classiques que nous faisons habituellement sur les nombres. Alors S=2
"Avec cette définition, la somme S n’a aucun sens."

Décision et action

La força d’una idèia se mesura a la capacitat de decidir et d’agir. Peire Brechet Président de l’IEO Occitans ! avril 2011

E. Jacquet-lagreze. l’acteur et ses préférences, ses discours et ses rationalités.
AFCET Petits groupes et grands Systèmes.

La modélisation des systèmes complexes Jean-Louis le Moigne.

Pour décider il faut d’abord avoir analysé et compris. [5]

Voir cet article sur la littératie en Santé

"La littératie en santé, c’est, selon Wikipedia, la capacité de lire, de comprendre et d’utiliser l’information médicale pour prendre des décisions et suivre un traitement."

Analyse des actions

1° Ce que l’on veut réellement dire est parfois différent de ce que l’on veut dire. Parfois on parle seulement pour parler, et ce que l’on veut réellement dire va au delà de ce qu’on dit. Parfois on ne sait pas réellement ce que l’on veut dire.

4° Ce que l’on veut dire. Ce que l’on dit vouloir dire si on nous le demande et qu’on réponde sincèrement.

2° Le discours neutre. C’est un discours qui serait totalement explicite ou avec des présupposés évidents. Le degré zéro du discours [6]. Il s’oppose au discours plein de sous entendus.

5° Ce qui est réellement dit avec tous les sous entendus volontaires ou non.

3° Ce que l’on comprend de ce qui a été dit. Avec la part d’interprétation qui va avec.

6° Ce que l’on entend. Souvent on n’entend que ce que l’on désire entendre.

7° Ce que l’on veut réellement et profondément faire. Le plus souvent on ne sait pas trop. D’où des choix difficiles.

10° Le but que l’on se donne et qu’on affiche

8° Ce qu’il faudrait faire de façon rationnelle pour réaliser l’objectif que l’on se donne (10°). Le plan d’action rationnel.

11° Ce qu’on programme réellement comme action pour réaliser 10°. Le plan d’action réellement fabriqué.

9° But réellement atteint. changement (ou non )réel.

12° Action réellement réalisée

Voir article analyse des discours

Analyse d’un article sur les obstacles au dépistage du cancer du col

Actions ratées

Savoir diagnostiquer une action comme foireuse. Déni

"Mais, plutôt que de débattre ensemble dans un environnement complexe, il est bien sûr parfois plus simple pour un dirigeant de se convaincre qu’il a utilisé les bons outils - qui sont aussi souvent les signes extérieurs de sa fonction - et que, si ça ne marche pas, c’est l’environnement qui a tort." [7]

Erreurs de raisonnements. Analyse erronées. risques mésestimées.

Besoins narcissiques. ne pas perdre la face.

"Errare humanum est, perseverare diabolicum". Il ne faut pas que ce soit la même personne/structure qui commence une action, qui l’évalue, et qui l’arrête.

Les cétacés se serviraient des lignes du champ magnétique terrestre comme amers lors de leurs déplacements. Ils utiliseraient également le CMT comme repère pour "caler" leur horloge biologique. Anomalies, tempêtes ou lignes perpendiculaires à la côte seraient autant de paramètres susceptibles de perturber la trajectoire des animaux. Dans les groupes de cétacés hiérarchisés et/ou à forte cohésion sociale, si le meneur d’un groupe « perd la boussole », le groupe entier se retrouve en danger. Wikipedia

Comment peut-on se rendre volontairement aveugle et persister dans l’erreur ??

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Ds85pZcUiys#

Cas cliniques

A propos de l’affaire des pilules 3° génération :

Ce qui m’intéresse dans cette histoire c’est de comprendre comment quelqu’un d’a priori intelligent a pu avoir une idée aussi idiote ! (= réserver la prescription aux gynéco).
Quelle interprétation de ce symptôme ?
Quels sont les arguments avancés ?

Je crois fermement qu’on ne peut pas comprendre certaines choses sans faire abstraction de la notion de "bain culturel ambiant/dominant" à un moment donné pour un groupe humain donné.
Bain culturel qui entraîne un système d’ idées a priori qui peuvent aussi idiot le plus brillant qu’ a pu le faire le premier amour avec euh.... n’ importe lequel d’ entre nous.
Pendant des siècles des gens brillants, bon chrétiens, et tout et tout, ont admis et défendu l’ esclavage...
Il y a visiblement une idée dominante du style "tel truc est mal prescrit, alors réservons en l’ usage aux gens qui se sont spécialisés dans les maladies pour lequel ce truc est prévu"
Le pire c’ est que çà peut avoir des allures de "gros bon sens" d’ autant plus trompeur

Article du nouvel obsConcernant la justification du fait de réserver aux gynécos la prescription toujours pas d’explication claire...

Le plan d’action

Construction d’un plan d’action.

il s’agit d’optimiser une action.

Inspirons-nous de la "programmation mathématique"

Nous avons des conditions : contraintes, et liaisons (tel type de discours ne peut être fait que par tel type de personne),

On cherche le plan d’action qui optimisent un certain critère.

Pour cela on a des outils.

Le critère à optimiser peut-être un indicateur de qualité. Il doit être bien précisé et ne pas être perdu en chemin

Les contraintes sont des contraintes de moyen, de temps, de savoir faire, d’argent, de limites légales...

Pour choisir le bon plan d’action (efficacité, efficience) il faut analyser le critère à optimiser : comment est-il calculé ?

Un plan d’action agit sur les éléments d’un système. le problème est alors de définir quelle action sur ces éléments. Par exemple s’ils s’agit d’argumenter : quel discours ? comment ? à qui et par qui ?

Théorie générale

Agir en général Mesurer parler traiter (une panne, un symptôme, une maladie...) dépister analyser choisir/décider
Espace des objectifs but, attentes, besoins diagnostiquer, dépister... informer, rassurer, manipuler... Guérir..
Contenu de l’action implicite/explicite effet spécifique/placebo
Faisabilité de l’action
Interprétation de l’action (= quels sont les objectifs)
résultat observable de l’action (les faits bruts) résultat de la mesure résultat de la parole résultat du traitement
Exactitude du résultat observé sensibilité, spécificité
interprétation du résultat observé de l’action (dans l’espace de l’objectif) interprétation du résultat de la mesure Interprétation du résultat de la parole Interprétation du résultat du traitement

Conformité du résultat
(faits bruts ou réalité du changement)
aux attentes et besoins. Écart entre objectifs et résultats

Effets secondaires/pervers /parallèles :

habileté/savoir faire. Compétence technique du prélèvement. Art de la parole. Art médical

Coût (économique, psychologique...) de l’action

Brouillon

je ne cherche pas à connaitre les réponses, je cherche à comprendre les questions. Confucius

Ce qui m’intéresse dans cette histoire c’est de comprendre comment on proposer cette solution = réserver la prescription aux gynéco.

Il semble s’agir d’une réponse réflexe = "réponse dans la précipitation". Et donc d’un mauvais réflexe. Pourquoi cette réponse dans la précipitation ? Par peur d’un nouveau scandale. Autre réponse inadéquate : la pénalisation financière
Conclusion : Attention aux réponses à donner dans l’urgence qui font basculer dans le déraisonnable.
Et en effet les réponses sont déraisonnables, et c’est pour cela qu’elles n’ont pas été justifiées semble-t-il (elles ne sont pas justifiables = pas de réponse à la question du pourquoi) : "Comme si une pénalisation financière pouvait répondre à un risque médical." et "Or aujourd’hui, les généralistes prescrivent majoritairement des pilules de 2 ème génération (68%) et les gynécologues, les pilules de 3 ème génération (54%)."

Des réponses "irrationnelles" peuvent être symptomatiques de non dits : "Comme si les généralistes étaient fautifs et incompétents."

Et tout ceci aggrave le problème : "Alors que l’on attend de la sérénité de la part de la puissance publique dans un débat devenu irrationnel, ces deux annonces ont contribué à alimenter un climat de panique. Les témoignages de femmes sur les réseaux sociaux qui envisagent d’abandonner leur pilule, ceux des médecins qui se disent atterrés et désemparés, sont l’expression d’une cacophonie entretenue par l’exécutif"

Quelles conclusions pour la pratique et l’action...?

1° Tout réponse dans l’urgence peut-être "irrationnelle" et peut révéler implicitement nos a priori plus ou moins avouables (c’est souvent ce qui se passe sur une liste lorsqu’on répond immédiatement )

2° Les politiques considèrent-ils les MG comme incompétents... Pourquoi ?

On peut observer qu’en général, les « résultats négatifs » sont les plus difficiles à digérer. Et ils sont aujourd’hui les plus difficiles a faire financer, même s’ils ouvrent le plus souvent de nouveaux horizons. Et voilà exactement ce que les gestionnaires institutionnels d’une
recherche entièrement orientée vers des projets positifs et vers des brevets réussiront a empêcher, [8]

http://www.slate.fr/story/41317/couverture-sociale-sante

http://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/60/74/19/PDF/decision.pdf

Entendu
"Si on ne prend pas conscience de ça on n’ira pas bien loin..."

rapport de force versus débattre.

Sur la grippe

http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php?t=112288

http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php?t=109027

http://imposteurs.over-blog.com/article-le-dr-marc-girard-ou-l-art-de-detourner-l-information-scientifique-pour-alimenter-la-propagande-anti-vaccin-par-olivier-chacornac-39487235-comments.html#comment52977160

http://www.hoaxbuster.com/dossiers/detail.php?idDossier=80988

http://www.hoaxbuster.com/hoaxliste/hoax.php?idArticle=81103

http://www.rue89.com/2009/12/19/grippe-a-la-vaccination-ne-protege-pas-a-vie-130339?page=0%2C12#

Marc Gentilini. Mon avis sur la grippe A n’a pas changé. Je regrette que l’OMS ait surestimé la gravité de cette épidémie et contribué à faire commettre des erreurs par d’autres.

Je maintiens qu’il est indécent d’engager autant d’argent sur une affection dont chacun voit, avec toute la compassion due aux familles des victimes, qu’elle n’a pas eu, heureusement, la gravité apocalyptique annoncée. Les morts de la rue, eux, faire entendre leurs voix. La pauvreté, qui est la première des maladies, n’est pas prise en considération.

L’argent investi pour la grippe en France aurait suffit à boucler le budget de la FAO pour nourrir le milliard d’affamés annuels. La solidarité, dans le domaine de la santé, est la meilleure des préventions.

Je considère cette opération comme une erreur d’appréciation sanitaire au départ, un achat incontrôlé des médicaments et des vaccins sous l’ombrelle du « principe de précaution », puis d’une arnaque économique, enfin une opération politique qui aboutira à une vaccination de gré ou de force du Français moyen. Tout cela a un coût et l’argent utilisé ne se retrouvera jamais pour d’autres causes plus conséquentes.

test

"Il faut substituer aux images simplistes, et unilatérales (celles que véhiculent la presse notamment), une représentation complexe et multiple, fondée sur l’expression des mêmes réalités dans des discours différents, parfois inconciliables ;"Bourdieu. la misère du monde P 9

Pour la construction d’une action cez qui est fondamental c’est d’éviter ce qui ne marche pas. Voir note 1 Peut-on ne pas croire ? Bouveresse

"[...] il me semble que toute chose — toute action, opération, intervention, geste, travail — a trois aspects : technique, idéologique, éthique." [9]

faisabilité, rentabilité, légitimité.

CREVER L’ABCÈS
C’est seulement là où les abcès sont crevés qu’un processus de guérison peut s’engager.

TENIR COMPTE DE LA RÉACTION
"Le risque existe que l’insistance sur la lutte contre les abus sexuels soit rejetée comme une idéologie occidentale qui ignorerait les conditions de vie souvent inhumaines dans ces pays ou révélerait la névrose des Occidentaux dans leur rapport à la sexualité." [10]
Nous devons faire face à la réalité et devenir davantage conscients de la souffrance indicible des victimes et de notre implication dans les effets du mal et rompre avec nos réactions défensives, trop souvent mues par la peur. [11]

CONNAÎTRE LES LIMITES DE L’ACTION :
...nous nous retrouvons face à des problèmes pratiques particulièrement aigus : comment sanctionner adéquatement les coupables et, en même temps, les empêcher d’abuser à nouveau ? Nous ne pourrons jamais vaincre complètement le mal [...] le penser serait une erreur d’appréciation fatale —, mais nous pouvons tout faire de ce qui est en notre pouvoir afins de minimiser le risque d’abus. Il nous faut garder cela à l’esprit lorsque nous nous interrogeons sur la gestion des coupables. [12]

ACTION ETHIQUE
Altruisme, compassion
L’éthique est en effet à la base de toute pratique boudhique : on y oriente ses actes et ses comportements vers la vertu, c’est à dire le respect de soi et d’autrui et la compassion à l’égard des êtres. [13]

Le mal
Nous devons faire face à la réalité et devenir davantage conscients de la souffrance indicible des victimes et de notre implication dans les effets du mal et rompre avec nos réactions défensives, trop souvent mues par la peur. [14]

Les "bons" paient pour les "moins bons".

BROUILLON
Le bon sens

Une seule politique possible

bonne volonté

Action bête. Peut-être le fait d’une personne intelligente. Pour une raison ou une autre elle n’a pas fait travailler son intelligence.

Appliquer la bonne méthode au bon moment.

On peut se donner d’autres objectifs que la réussite pure et simple, par exemple, la révélation d’un désordre dans cet univers apparemment bien rangé.... [15]


[1"La Rationalité" Raymond Boudon. Que sais-je ?

[2L’implicite. Catherine kerbrat-Orecchioni. Page 59

[4Alexandre Dumas. Le trou de l’enfer. p 662

[5Voir Prescrire

[6Confer le degré zéro de l’écriture ?

[7Raymond-Alain Thiétart. Le Monde Campus - mercredi 31 mars 2004

[8INTERFACES DE L’INCOMPLETUDE. GIUSEPPE LONGO

[9Roland Barthes. la préparation du Roman p49

[10Les abus sexuels dans l’église. Hans ZOLLNER Études Sept 2016

[11Les abus sexuels dans l’église. Hans ZOLLNER Études Sept 2016]

TROUVER LA BONNE MANIÈRE DE METTRE EN ŒUVRE L’ACTION : Rencontrer la bonne personne au bon moment.
“Je ne sais combien de victimes d’abus sexuels peuvent emprunter un tel chemin. Il y a celles qui ont rencontré la bonne personne au bon moment - un partenaire, un ami, un thérapeute, parfois aussi un prêtre ou un évêque - et qui, après avoir traversé l’enfer, ont trouvé à nouveau la force de prendre la vis en main. Il est profondément émouvant et tout aussi stimulant d’entendre que ce chemin — chemin pénible et difficile — a pu déboucher, au travers de nombreuses évolutions, sur des reconstructions, une possibilité de pardon et une nouvelle espérance. De telles personnes, qui ne veulent plus être appelées victimes, témoignent qu’à travers les stigmates de la mort, la lumière de la résurrection peut briller à nouveau.”[[Les abus sexuels dans l’église. Hans ZOLLNER Études Sept 2016

[12Les abus sexuels dans l’église. Hans ZOLLNER Études Sept 2016

[13Philippe CORNU Études Sept 2016

[14Les abus sexuels dans l’église. Hans ZOLLNER Études Sept 2016

[15Jean-Yves GIRARD. Le point aveugle.