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Obligation de la prescription en DCI [version 0.00 du 13/12/2014]

vendredi 12 décembre 2014, par omedoc

Les noms commerciaux sont très étudiés pour faire vendre et consommer.

les noms de molécules sont imprononçables et "inécrivables". On ne peut douter qu’il
s’agisse bien de chimie. Ils correspondent donc bien à la réalité de ce
qu’est un médicament. Aucune magie dans "ibrutinib ou idelalisib" [1] ou
plutôt une magie noire et infernale. Ils ne peuvent que dégouter de
consommer...

Vive la prescription qui dit bien son nom.

La prescription en DCI devrait faciliter la substitution du princeps par un générique.

L’obligation de la prescription en DCI va rendre encore plus important ce contrôle de la part des caisses !!!

Sauf, peut-être à ce que le pharmacien raisonne lui aussi en DCI en écrivant sur la boite le nom de la molécule et non le nom du princeps (???)... Je ne sais pas si c’est fait et si c’est possible de le faire ?

Vu le risque iatrogénique important, la sécu serait incohérente et ne serait pas dans son rôle si elle ne se préoccupait pas de la stabilité de la délivrance de façon sérieuse...

Comment peut-on oser embêter les médecins sur le NS si la sécu ne se préoccupe pas de la délivrance ?

Les pharmaciens sont rémunérés pour la prévention de la iatrogénie des AVK. Comment la caisse peut-elle accepter que certains pharmaciens fassent n’importe quoi avec la iatrogénie due à l’instabilité dans la délivrance des génériques ?

La médecine des noms de marque est une médecine commerciale. La médecine est faite pour des patients et non pour des consommateurs.

Je suis pour l’effet magique du médecin et contre l’effet magique de l’objet.

Peut-être que la prescription en DCI va favoriser le médicament-médecin.

Certains médecins vont se retrouver "tout nu" devant leurs patients. Ils ne vont plus pouvoir se cacher derrière la prescription et la polymédicamentation.

Le médecin peut être plus iatrogène que le médicament. Mais ce n’est pas une qualité intrinsèque au médecin.

Avec l’obligation de prescription en DCI le médecin peut difficilement rester un simple distributeur de médicaments.

Mais comme pour tout remède, l’utilisation de soi comme remède s’apprend...

BROUILLON

selon un rapport de la Cour des comptes de 2014, alors que la pratique de la DCI atteint 80 % en Grande-Bretagne et 35 % en Allemagne, le niveau de prescription en DC par nombre de lignes prescrites s ?élevait à 12 % en 2013 dans l ?Hexagone. Selon la Mutualité française, le taux de prescription en DCI a atteint 14,2 % en 2014 (15,6 % pour les généralistes et 8 % pour les spécialistes).

ANCIEN ARTICLE (non relu)

  • DCI et MOTIVATIONS

La prescription de médicaments génériquables est un problème strictement économique. Le médecin doit donc se sentir concerné par la maîtrise des dépenses de santé. Pour cela il ne doit pas être trop anti sécu ou trop pro labo. Il ne doit pas faire un blocage sur l ?existence d ?une autre solution qui lui aurait évité de se compliquer la vie. Il y a enfin des arguments médicaux sur les risques de la substitution : effets secondaires, inefficacité, erreurs ?

En ce qui concerne la prescription en DCI plutôt qu ?en nom de marque, elle est plus philosophique et/ou idéologique. Il y a aussi des arguments de qualité de la prescription.

Les motivations peuvent être des motivations idéologiques : engagement militant.
(=nos états d’âmes vis à vis de la Secu,de l’Afssaps de LRP [2] ou des labo)

    • « Mes motivations à prescrire en DCI sont un peu dogmatiques, parce que
      dans la pratique, je ne suis pas satisfait. »
    • « J’ai commencé voilà 20/25 ans , comme tous les autres. Peut être d’abord pour lutter contre les diktats des firmes. Puis, comme tous, j’ai compris qu’il y avait là sources d’améliorations de ma compétence et de la qualité de ma prescription. »
    • « Par contre sur ma motivation à prescrire en DCI je peux répondre.
      Elle date des années 80 et de la fin du brevet de l’amoxicilline.
      Du jour au lendemain nous sommes passés de deux marques (Clamoxyl ® et Hiconcil ®) à six puis huit puis ...... encombrant notre mémoire inutilement et créant des confusions regrettables auprès des patients.
      De colère je me suis mis à prescrire sous la forme amoxicilline DCI. À l’usage je me suis rendu compte que ce n’était pas plus difficile à écrire que le nom de marque. Et de fil en aiguille j’ai continué par le paracétamol, l’aténolol, etc ......
      Voici pourquoi il y a plus de vingt ans j’ai commencé à prescrire en DCI. »
    • « Idem , pour moi, j’ai commencé avec l’apparition des Fenofibrates DCI »
    • « Mon point de vu est inverse alors qu’en 1990 j’avais le même : en 1990 il y avait 8 Amoxicilline (Agram, Amodex Amoxine, Bristamox, Clamoxyl,Gramidil, Hiconcil et Zamocilline)et je comprends bien ta réaction. Aujourd’hui retour en arrière c’est pas 8 mais 20 médicaments différents pour le patient qui est majoritairement complètement largué, et comme le Clamoxyl° est au même prix que les autres et de plus bien connu, il serait dans l’intérêt du patient que tous les généralistes de France le prescrivent. C’est l’intérêt du patient d’abord et pas nos états d’âmes vis à vis de la Secu, de l’Afssaps de LRP ou des labo qui doit compter. »

Les motivations peuvent aussi être plus psychologique comme celle de pouvoir contrôler sa prescription de bout en bout.

  • DCI ET PHARMACIEN
    • « Il me semble pertinent de répartir les rôles entre médecin et
      pharmacien. Mon rôle est de faire un diagnostic et de proposer un traitement
      adapté à la pathologie et à mon patient. Je prescris donc en DCI (pour les
      médicaments du répertoire des génériques) en indiquant la forme galénique,
      et parfois une précision sur l’excipient (sans sucre chez les diabétiques).
      Je délègue au pharmacien, le choix du médicament délivré en
      respectant ma prescription ( substance et forme galénique). Il me semble que
      le choix de couleur, de goût, sont plus de son domaine. Comme vous tous, je
      me rends compte que cette délégation aboutit à une anarchie dans les
      délivrances de médicaments au long cours qui ne cessent de changer de
      laboratoire et d’aspect, aboutissant à des confusions chez pas mal de
      personnes dont les patients âgés.
      Je déplore cette conséquence, mais pour autant faut il que le
      médecin intervienne pour éviter un écueil du travail du pharmacien ? »
    • « De mes discussions avec le copain pharmacien, je me suis rendu compte très vite que c’est lui qui était naturellement bien mieux place que moi pour choisir, en fonction des goûts et humeurs des patients les galéniques et présentations. Ce qui le restaurait aussi dans son boulot, plutôt que le laisser faire « l’épicier » :-)))).
      Et tout fonctionne bien, avec lui au moins. (mais d’autres s’y mettent aussi). »
    • « c’est vrai que l’on n"avance pas d’un poil sur ce douloureux problèmes pour les gens âgés ou les personnes qui n’en comprennent rien.
      Je prescris parfois en DCI, mais pas chez les gens âgés ou les malvoyants. Je le fais par paresse, pour faciliter le travail du pharmacien.
      En prescrivant en DCI sans ajouter le nom d’un labo le médecin n’a pas à se préoccuper de l ?AMM, il est dans le vide juridique. Je n’ai pas vu de jurisprudence sur ce sujet »
  • DCI ET HOPITAL
    • « Je commence à voir des prescriptions hospitalières en DCI...
      Le problème des prescriptions hospitalières vient du fait que les pharmacies ne disposent pas des mêmes disponibilités qu’en officine de ville.
      Et surtout, ils ont aussi un budget à tenir.
      Ainsi ils ne disposent que de peu d’I.E.C, mais les laboratoires leur vendent pour 1 centime des Sartans.
      Même chose pour les IPP ; sans compter les échantillons donnés.
      En faites les laboratoires "inondent" cliniques et hôpitaux de produits quasiment donnés
      pour pénétrer la ville.
      A la sortie de l’hôpital ou de la clinique, l’infirmière retranscrit le traitement et la substitution est jouée.
      Peu d’entre nous ayant le courage de resubstituer l’IPP ou le Sartan, car cela demande du temps et des explications.
      De plus ces personnes ressortent souvent avec une ordonnance pour quelques jours. »
    • « Bémol. La plaie reste vraiment l’attitude des hospitaliers qui retranscrive en noms de marques l’intégralité de ma prescription DCI. »
    • « un bemol, souvent, suite à une hospitalisation, mes ordo ressortent tout
      en produits de marque !!!! Les médecins hospitaliers ne connaissent t’ils pas les dénominations DCI ?
      quand l’assurance maladie va elle s’occuper de cette anomalie ? »
  • DCI ET SOINS A l ?ETRANGER
    • « Autre remarque : une partie de ma patientèle, en retraite maintenant, vit a cheval entre France et Portugal, Algérie Maroc. Etc. si je ne parle pas et ne leur enseigne pas la DCI, comment font ils avec leur pharmacien ou collègue locaux ?(j’ai même reçu une fois une lettre de remerciements d ?un confrère portugais). »
    • « J ?ai été d ?abord médecin en Espagne. Là bas on prescrit en DCI. En m ?installalant en France, je n ?ai eu aucune difficulté. »
  • DCI ET OPTIMISATION DU TRAITEMENT
    • « Ma panoplie au fil des années s’est réduite à quelques principes actifs pour 99% de mes prescriptions, comme tous d’ailleurs, je présume. »
    • « Par ailleurs, mes ordo sont souvent totalement en DCI, j’ai
      volontairement limité mon portefeuille de médicaments,
      en privilégiant les premiers produits apparus dans une classe thérapeutique
      (il y a des exceptions !!!
      plutôt Ramipril et Enalapril que Captopril !!
      plutôt Felodipine et Amlodipine que Nifedipine )
      j’en ai même oublié certains noms de marques !!! je dois faire un
      effort pour les retrouver. »
    • « J’ai commencé voilà 20/25 ans , comme tous les autres. Peut être d’abord pour lutter contre les diktats des firmes. Puis, comme tous, j’ai compris qu’il y avait là sources d’améliorations de ma compétence et de la qualité de ma prescription. »
    • « C’est aussi à ce moment [3] que j’ai compris l’importance de la marque.
      Dans le cas de l’Amoxicilline poudre pour suspension, le goût de l’Hiconcil était meilleur que celui du Clamoxyl (meilleure acceptabilité pour les enfants) et il y avait des génériques franchement ignobles comme, si je me rappelle bien, l’Agram qui, au débouché, avant que le liquide ne soit reconstitué, puait franchement l’oeuf pourri. Pour les mamans, c’était génial.
      Il est vrai que la non acceptabilité était une bonne chose tant on (je) prescrivait trop d’antibiotiques...
      Quand je prescrivais de l’Amodex (goût excellent) et qu’il fallait donner 500 mg par prise, je ne prescrivais jamais une cuillère mesure de 500 mais deux cuillères mesures de 250 (le goût était beaucoup moins amer).
      Ces propos pourront paraître curieux à certains mais cela fait aussi partie de mon métier.
      Mon attitude est la suivante et elle n’a jamais changé, avant même que la prescription en dci ne devienne la raison d’être des "bons" médecins : JE NE PRESCRIS DES MEDICAMENT, JE SOULIGNE : MEDICAMENTS, QU’A PARTIR DU MOMENT OU JE LES CONNAIS. C’EST POURQUOI MA LISTE EST TRES RESSERREE : JE LES CONNAIS PERSONNELLEMENT. BOITAGE, COMPRIME OU GELULE, FORME, COULEUR, VITESSE DE DISSOLUTION.
      Tout comme, je me répète, je ne prescris pas de beclometasone aerosol sans avoir fait une démonstration avant usage... »
    • « Est-il bien certain que la prescription en DCI soit dans l’intérêt du patient ? Quand un patient dit, même par ignorance, qu’il ne veut pas de génériques (la prescription en DCI conduisant à cela) et que tu lui prescris quand même un générique (dont tu ne connais ni le boîtage, ni la couleur des comprimés / gélules, ni la présentation (en vrac, sous blister unitaire, et cetera...) tu vas à l’encontre a) des valeurs et des préférences du patient (troisième pilier de l’EBM), b) de tous ce que l’on sait sur l’effet des couleurs sur l’efficacité, sur l’intérêt de la démonstration de la prise sur l’observance des patients, c) enfin et surtout de mon point de vue sur les enseignements que l’on tire de Balint : le médecin est le meilleur médicament... »
  • DCI UNE BONNE IDEE MAL APPLIQUEE
    • « Il est évident que tout cela est fort insatisfaisant. En effet. On ne peut pas dire que le législateur encourage la prescription de génériques. »
    • « Encore une bonne idée mal mise en place sous prétexte qu’une bonne idée n’a pas à faire ses preuves. »
    • « Mes motivations à prescrire en DCI sont un peu dogmatiques, parce que
      dans la pratique, je ne suis pas satisfait. »
    • « c’est vrai que l’on n"avance pas d’un poil sur ce douloureux problèmes pour les gens âgés ou les personnes qui n’en comprennent rien. »
    • « DCI et AMM »
    • « Illisibilité des conditionnements. »
    • « Le parlement vient d’adopter la prescription en DCI obligatoire pour les spécialités inscrites dur la liste des génériques et par ailleurs cette liste va s’ouvrir à des équivalents thérapeutiques mal définis. Je le dis tout net :si tous les médecins et les pharmaciens étaient exemplaires ,il n’y aurait rien à dire mais dans l’état actuel des choses la pagaille qui va en découler va être grandiose. »
    • « Mes motivations à prescrire en DCI sont un peu dogmatiques, parce que
      dans la pratique, je ne suis pas satisfait. »
  • DCI SOURCE d ?ERREUR
    • « Pour répondre sur le prescription DCI hors groupes génériques, je trouve dangereux de prescrire un produit qui porte un autre nom sur son conditionnement. C’est une source d’erreur. Je ne le fais donc pas. »
    • « La morbidité (mortalité ?) chez la personne âgée, liée au changement incessant de conditionnement n’est certainement pas nulle mais personne ne s’y intéresse. »
    • « C’est vrai que l’on n"avance pas d’un poil sur ce douloureux problèmes pour les gens âgés ou les personnes qui n’en comprennent rien. »
    • « Aujourd’hui retour en arrière c’est pas 8 mais 20 médicaments différents pour le patient qui est majoritairement complètement largué et comme le Clamoxyl est au même prix que les autres et de plus bien connu serait dans l’intérêt du patient que tous les généralistes de France le prescrivent. »
    • « Du jour au lendemain nous sommes passés de deux marques (Clamoxyl ® et Hiconcil ®) à six puis huit puis ...... encombrant notre mémoire inutilement et créant des confusions regrettables auprès des patients. »
    • « J’ajouterais que la prescription en DC (et donc forcément "I") est théoriquement intéressante dans l’intérêt des patients, mais en pratique source d’erreurs compte tenu du packaging actuel des médicaments dont la lisibilité est nulle la plupart du temps. »
    • « Tu as bien entendu raison sur l’illisibilité des conditionnements... »
    • « Les laboratoires font des emballages avec les DCI trop peu lisibles ? »
    • « Pour les médicaments qui ne sont pas au répertoire des génériques,
      mon "dogme" a ses limites, et je prescris en nom de spécialité puisque le
      médicament sera délivré obligatoirement en nom de spécialité (avec la DCI en
      tout petit). On pourrait dire de la même manière, faut il que le médecin
      modifie sa prescription (en nom de spécialité dans ce cas) parce que les
      laboratoires font des emballages avec les DCI trop peu lisibles ? C’est en
      tout cas comme cela que je fais. »
    • « Je prescris aussi en DCI depuis longtemps pour les molécules non génériquées , ( et en fonction de ma disponibilité ), je les écris en DCI avec le nom fantaisie à coté de la posologie et en majuscules. Je ne le fais essentiellement que pour des molécules qui vont tomber dans le domaine public sous peu, prudemment chez les personnes âgées. »
  • DCI et AMM
    • « Je n’arrive toujours pas à savoir si la prescription en DCI est liée juridiquement à l’AMM (les DCI n’ont pas d’AMM). Ce peut être intéressant si l’on veut prescrire hors AMM. »
    • « Quand tu prescris en DCI si le pharmacien possède le produit dans un bocal
      et qu’il le conditionne sous forme de gélules ,de suppo etc...On est totalement hors AMM.
      Rien n’interdit de fabriquer des gélules de paracétamol entre autres.
      Par contre quand le pharmacien délivre une spécialité fusse un générique il délivre
      dans le cadre de l’AMM du générique et les contre-indications lui deviennent (au pharmacien) opposables ;
      Pour l’instant dans tous les cas les indications ne sont pas opposables au pharmacien mais la SECU l’envisage pour l’avenir.
      En prescrivant en DCI sans ajouter le nom
      d’un labo le médecin n’a pas à s’en préoccuper,il est dans le vide juridique. Je n’ai pas vu de jurisprudence sur ce sujet. Il est évident que tout cela est fort insatisfaisant. »
    • « Ce qui est délivré a une AMM. S’il y a un problème médico légal je pense que le médecin sera tenu pour responsable.
      En ce qui concerne le fait ou non de marquer non remboursable (ce n’est pas le principal risque), c’est la même chose, mais le cas ne s’est jamais présenté et ne le sera jamais. »
    • « Merci pour cette confirmation. Ce vide juridique est donc toujours d’actualité. »
  • DCI ET EQUIVALENCE AU PRINCEPS
    • « Ce qui est gênant, c’est que l’on ne sait toujours pas si les génériques sont équivalents aux princeps puisque la réponse de l’AFSSAPS est "circulez, y’a rien à voir" : http://www.atoute.org/n/article85.html (les liens Afssaps ont sauté et n’ont pas été remplacés). Une prescription en DCI devrait préciser le sel et les excipients, comme une préparation magistrale.
      On est dans la situation d’un labo qui commercialiserait un médicament mais qui tiendrait au secret les études ayant évalué son produit, et demanderait qu’on le croie sur parole. »
  • DCI ET GENERIQUE
    • « LRP dit "prescrire en DCI n’est pas prescrire en générique" tu apprécieras en connaisseur avec ce que dit la secu et le CAPI.
      On n’est plus en 1990 ou cette phrase gardait tout son sens. »
    • « La prescription en DCI conduit souvent à la délivrance d ?un générique. »

BROUILLON

Liens : docteurdu16


[1Ou "acide acétylsalicylique" comparé à Aspirine ou Aspegic

[2= la Revue Prescrire

[3« Elle date des années 80 et de la fin du brevet de l’amoxicilline.
Du jour au lendemain nous sommes passés de deux marques (Clamoxyl ® et Hiconcil ®) à six puis huit puis ?. »